ernest ou comment l'oublier
Création automne 2008
Texte édité par L’École des Loisirs
Spectacle tout public
ERNEST OU COMMENT L’OUBLIER
Dans cet endroit retiré du monde, le temps a suspendu son vol et lorsque les étranges pluies de poussières sur viennent, l’armoire devient le seul refuge possible.
La poussière, comme un voile qui embrume, qui enivre et fascine, qui délie les souvenirs, s’amasse chaque jour un peu plus et devient prétexte au déchaînement des passions, aux règlements de compte, aux défis acrobatiques les plus insensés, à la violence la plus crue mais aussi à la tendresse, à l’amour et à la lutte acharnée contre la mort qui projette son ombre comme l’aile noire du corbeau…
© François-Louis Athénas
texte et mise en scène Ahmed Madani
avec Camille Figuereo, Stéphanie Gagneux
scénographie Raymond Sarti
création sonore Christophe Séchet
lumières Jean-Luc Robert
costumes Ahmed Madani et Angela Rajaonarivo
conseillère technique cirque Anne Joubinaux
perruque, maquillage Cécile Kretchmar et Rujimete Karunayadhaj
régie générale Damien Klein
administration Claire Guieze
Production Madani Compagnie
Coproduction Bonlieu Scène nationale Annecy et du Théâtre du Vésinet
Soutien Théâtre Nanterre – Amandiers, du Théâtre de l’Épée de bois, du festival Théâtre À Tout Âge à Quimper / avec l’aide à la production et à la diffusion du fonds SACD / avec l’aide à la création du Conseil Général des Yvelines
EXTRAITS DE PRESSE
L’Humanité
« Madani nous offre là une belle leçon de vie où le rire atténue les larmes, sans jamais les effacer vraiment. »
– Marie-Josée Sirach
Télérama
« Que soit ici salué un texte pas niais qui parle aux enfants du temps qui passe, de l’usure des corps et de l’approche possible de la mort, sans apitoiement aucun. Car l’humour lui donne toute sa tension. »
– Emmanuelle Bouchez
Pariscope
« Cette pièce est inattendue, poignante, parfois cruelle, mais toujours drôle. »
– Caroline Munsch
Le Dauphiné Libéré
« Yvonne et Marie-Louise font le ménage et des prouesses acrobatiques. Et l’on rit et frémit sur la grande roue de la vraie vie qui fait tourner tous les âges. »
– Carine Bel
Le Matin de Lausanne
« Amour, jalousie, enthousiasme, fantaisie, la capacité des personnages à tout ressentir est intacte. Celle des spectateurs aussi. »
© François-Louis Athénas